Du bleu au blé

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Pensées & Motivation #3

Tu dois apprendre à aimer l’inconfort.
Tu dois entraîner ton esprit à endurer ce que ton corps veut fuir.
Chaque fois que tu entres dans l’inconfort, tu sculptes la force, la discipline et la résilience.
Tu construis quelque chose que personne ne pourra jamais t’enlever.
C’est ça qui distingue l’extraordinaire de l’ordinaire.
C’est ça qui distingue ceux qui rêvent de ceux qui agissent.

Quand le réveil sonne et que le lit est chaud, ils se lèvent.
Quand l’entraînement fait mal et que le corps demande du repos, ils continuent.
Quand le rejet frappe à la porte, ils répondent avec détermination.
Quand l’échec arrive, ils ne s’effondrent pas.

Les esprits les plus forts ne sont pas ceux qui ne ressentent pas la douleur.
Ce sont ceux qui refusent d’en être esclaves.
Ils ont appris à sourire sous la tempête,

La question donc n’est pas de savoir si l’inconfort viendra.
Il viendra. La vie te le garantit.
La vraie question, c’est : qu’est-ce que tu feras quand il sera là ?
Est-ce que tu fuiras ou est-ce que tu continueras ?
Est-ce que tu te plaindras ou est-ce que tu persisteras ?

Alors, continue.
Laisse l’inconfort venir. Invite-le.
Utilise-le. Laisse-le t’apprendre, te façonner, t’aiguiser.
Laisse-le te montrer de quoi tu es fait.
Laisse-le étirer tes limites jusqu’à ce que tu réalises que tu n’en as pas.
Parce que lorsque tu deviens à l’aise dans l’inconfort,
Plus rien ne peut t’arrêter.

Tu sais, ce qui brise vraiment les gens :
Ce n’est pas l’échec.
Ce n’est pas le rejet.
Ce n’est pas la douleur.
C’est cette obsession constante et destructrice pour des choses qu’ils ne peuvent pas contrôler.

Ils passent des journées entières à s’inquiéter de ce que les autres pensent.
Des nuits à revivre le passé.
Des saisons entières à essayer de changer des circonstances
Et dans ce processus,
ils perdent la seule chose qu’ils étaient censés maîtriser : eux-mêmes.

Tu ne peux pas contrôler le vent.
Tu ne peux pas arrêter la pluie.
Tu ne peux pas forcer quelqu’un à reconnaître ta valeur.
Tu ne peux pas défaire ce qui a déjà été fait.

La vie va te frapper avec des tempêtes que tu n’as pas vues venir.
Et si tu gaspilles ta force à vouloir retenir la marée,
tu te noieras dans la frustration, l’amertume et l’anxiété.

C’est une bataille perdue d’avance.
Un combat qui te laissera vide.
Retiens cette phrase : « Je n’ai besoin de maitriser les circonstances,
j’ai juste besoin de maitriser ma réaction face à elles« .

Parce que quand la vie hurle,
quand le chaos rugit,
quand tout semble te glisser entre les doigts,
c’est à ce moment-là que tu chercher en toi et non à l’extérieur,
C’est là que tu te rappelles : « Je ne contrôle peut-être pas la tempête,
mais je contrôle mon navire. »

Tu es le maître de ton attitude.
Tu es le maître de ton effort.
Tu es le maître de tes choix.

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